Les Aztèques utilisaient des techniques d'agriculture en terrasse pour maximiser la production agricole dans les zones montagneuses et limiter l'érosion des sols en retenant l'eau et les nutriments dans les terrasses.
Les Aztèques vivaient dans une région montagneuse avec beaucoup de collines et vallées. Pas simple pour planter du maïs ou des haricots sur des pentes raides. Alors ils ont créé des terrasses agricoles, sorte de "marches" taillées à flanc de coteau. Ça leur a permis d'obtenir des surfaces planes, beaucoup plus faciles à cultiver, même quand le relief était très accidenté. Ça facilitait clairement le travail quotidien des agriculteurs : on ne risque plus de dégringoler dès qu'on travaille son champ, et les récoltes sont forcément meilleures.
Les Aztèques avaient peu de terres cultivables autour d'eux, surtout à cause de régions montagneuses. Ils ont donc choisi de façonner des terrasses agricoles, sortes de marches construites à flanc de colline, afin de cultiver efficacement des surfaces autrefois inexploitées. Grâce à ces structures astucieuses, ils ont pu créer et exploiter des parcelles planes sur des terrains abrupts, gagnant ainsi un espace agricole précieux. Résultat : plus de champs exploitables, davantage de récoltes, et une meilleure production alimentaire capable de nourrir une population importante. Bref, en construisant des terrasses, les Aztèques ont tiré parti de chaque recoin, même sur les pentes les plus raides, afin d'augmenter leur rendement agricole dans une région où chaque portion de terre comptait.
Les terres en terrasses créaient des sortes de marches qui permettaient à l'eau de pluie de pénétrer lentement dans les sols au lieu de dévaler la pente en gaspillant tout. Du coup, l'eau était stockée plus efficacement dans la terre, assurant une réserve d'humidité bien pratique pour les cultures même quand il ne pleuvait pas beaucoup. Grâce à ça, les Aztèques pouvaient faire pousser leurs plantes pendant des périodes un peu sèches, sans toujours devoir s'inquiéter des pénuries d'eau. Les terrasses limitaient aussi les risques de ruissellement violent capable d'emporter la terre fertile et gâcher les récoltes. Bref, la technique leur permettait d'avoir toujours de l'eau sous la main, sans devoir tout le temps espérer une pluie providentielle.
Grâce aux cultures en terrasses, les Aztèques limitaient le ruissellement de l'eau sur les flancs abrupts des montagnes. Ça évitait que l'eau n'emporte progressivement les couches fertiles du sol, protégeant ainsi la terre cultivable et gardant les éléments nutritifs en place. Les marches plates ralentissaient l'eau de pluie, ce qui permettait au sol d'absorber tranquillement les pluies fortes au lieu d'être lessivé. Autrement dit, ces terrasses servaient de barrière naturelle contre l'érosion causée par les fortes pluies saisonnières et préservaient la richesse du sol à long terme.
Les Aztèques cultivaient régulièrement des plantes qui enrichissaient naturellement le sol, comme les haricots, capables de fixer l'azote directement dans la terre. Ils utilisaient aussi souvent des déchets végétaux, organiques et même des cendres pour créer une sorte d'engrais naturel qui améliorait la fertilité. Ces techniques permettaient de recharger naturellement les terrasses en nutriments essentiels, ce qui faisait de leurs cultures un vrai cercle vertueux : la terre nourrissait les cultures, et les cultures nourrissaient la terre.
Les Aztèques pratiquaient également la culture flottante sur des structures appelées chinampas, qui leur permettaient de cultiver directement sur les eaux peu profondes du lac Texcoco, optimisant ainsi encore davantage leurs surfaces agricoles.
Les techniques agricoles sophistiquées des Aztèques, telles que les terrasses, leur permettaient de cultiver du maïs, des haricots, des courges et même du cacao, constituant ainsi une base alimentaire nutritive et variée.
L'agriculture en terrasse aztèque offrait une protection contre les fortes pluies et minimisait le ruissellement, réduisant ainsi les risques d’inondations et protégeant leurs cultures.
La construction des terrasses aztèques favorisait la biodiversité locale ; ces systèmes agricoles complexes abritaient souvent une multitude d'espèces végétales et animales bénéfiques à l'équilibre de l'écosystème.
Les Aztèques cultivaient principalement du maïs, des haricots, des courges et d'autres légumes. Ces cultures complémentaires formaient un équilibre écologique et nutritionnel bénéfique.
Non, cette technique agricole était répandue parmi plusieurs civilisations andines et mésoaméricaines telles que les Incas ou les Mayas, qui faisaient aussi face à des reliefs montagneux.
Certaines terrasses sont encore visibles et utilisées aujourd'hui dans diverses régions du Mexique. Elles témoignent du génie agricole des Aztèques et continuent à inspirer des pratiques agricoles durables.
Les terrasses limitaient l'érosion et permettaient une utilisation optimale de l'eau, limitant ainsi les gaspillages. De cette manière, les Aztèques entretenaient une agriculture durable qui préservait les sols sur le long terme.
Non. Bien que les terrasses soient une des méthodes employées, les Aztèques développaient également les chinampas, des jardins flottants extrêmement efficaces sur les plans d'eau peu profonds.
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Question 1/5
