Les méduses ont des tentacules urticants pour se défendre et capturer leur proie. Les cellules urticantes présentes sur les tentacules contiennent des toxines qui paralysent les proies ou dissuadent les prédateurs.
Les méduses ont des tentacules remplis de milliers de petites cellules appelées cnidocytes. Dans chaque cnidocyte, il y a des sortes de minuscules harpons venimeux, les nématocystes, prêts à être lancés dès qu'ils sont touchés. Au moindre contact, un signal déclenche le tir immédiat du harpon, qui traverse la peau de la proie ou du prédateur et injecte aussitôt du venin. Ce mécanisme rapide et réflexe permet aux méduses de capturer facilement leur nourriture ou de se défendre. La puissance du venin varie d'une espèce à l'autre, certaines méduses sont juste gênantes, d'autres carrément dangereuses.
Les tentacules urticantes sont le véritable atout chasse des méduses. Grâce aux cellules spécialisées appelées cnidocytes, elles piquent ou paralysent leurs proies en quelques secondes. Dès qu'une proie touche ces tentacules, des sortes de minuscules harpons venimeux, les nématocystes, se déclenchent et injectent leur toxine foudroyante. Résultat : la proie est presque immédiatement neutralisée, puis les tentacules se chargent gentiment de l'amener jusqu'à la bouche de la méduse. Efficacité et simplicité : la méduse peut alors dévorer sans effort plancton, petits poissons ou crustacés, assurant ainsi sa survie tranquillement.
L'évolution est plutôt maligne : elle a doté les méduses de cnidocytes, qui sont en quelque sorte leurs cellules-armes. Ces cellules spécialisées proviennent d'une longue série d'adaptations évolutives, affinées au fil de millions d'années. Une méduse mieux armée avait plus de chances d'attraper ses proies et de survivre aux prédateurs, donc elle pouvait se reproduire davantage et transmettre cette caractéristique utile à ses descendants. Petit à petit, le caractère urticant s'est amplifié grâce à une sélection naturelle favorisant les méduses les plus efficaces. Au final, ce n'est pas du hasard, c'est juste la nature qui a peaufiné cette stratégie gagnante pendant très longtemps.
Les méduses possèdent des cellules spéciales pleines de venin, les cnidocytes, pour écarter efficacement leurs prédateurs potentiels. Quand un poisson ou une tortue se rapproche de trop près, ces cellules libèrent de minuscules harpons urticants appelés nématocystes, injectant un venin douloureux qui décourage vite l'agresseur. Cette défense peut faire très mal ou même paralyser temporairement le prédateur, juste assez longtemps pour permettre à la méduse de s’échapper tranquillement. Même si certaines créatures comme les tortues de mer ont développé une résistance à ce venin, pour la plupart, l'effet piquant suffit généralement à convaincre tout assaillant potentiel d’aller voir ailleurs.
Les cellules urticantes des méduses, appelées cnidocytes ou nématocystes, renferment un minuscule harpon propulsé à très grande vitesse lorsque la cellule est stimulée mécaniquement ou chimiquement.
Le vinaigre est souvent utilisé comme remède de première intention pour neutraliser les cellules urticantes lors d'une piqûre de méduse, car il empêche la libération supplémentaire de toxines et diminue la douleur.
Certaines méduses possèdent des tentacules urticantes capables de rester actives même après leur mort ou leur détachement, ce qui signifie qu'elles peuvent piquer longtemps après avoir été échouées sur la plage !
La méduse irukandji, une petite espèce australienne de seulement quelques centimètres, a un venin suffisamment puissant pour provoquer un syndrome entier chez l'homme appelé syndrome d'Irukandji, provoquant douleurs musculaires, nausées et hypertension.
Non, toutes les méduses ne présentent pas le même degré de toxicité. Certaines espèces peuvent provoquer uniquement des irritations légères chez l'Homme, tandis que d'autres sont capables d'engendrer des réactions plus sévères, voire potentiellement mortelles.
Non. Bien que les tentacules urticants servent principalement à la capture des proies, ils jouent également un rôle défensif important en protégeant la méduse contre les prédateurs potentiels.
Les cellules urticantes (cnidocytes) ont un fonctionnement mécanique et chimique autonome. Ainsi, elles peuvent continuer à libérer leur venin même après la mort de l'animal, tant que leurs mécanismes sont intacts.
Oui, certaines espèces marines, comme certaines tortues de mer, poissons et crustacés, sont immunisées contre les piqûres de méduses, les mangeant même régulièrement.
L'activation des cellules urticantes (cnidocytes) est principalement déclenchée par des stimuli physiques (pression, contact) combinés à des stimuli chimiques. Ces combinaisons permettent aux cellules de libérer instantanément leur venin sous pression dans leur cible.
En cas de piqûre, retirez délicatement les éventuels filaments restants avec une pince ou une carte rigide, rincez abondamment à l'eau de mer (et non à l'eau douce), puis appliquez du vinaigre pour neutraliser le venin. Si les symptômes persistent ou s'aggravent, consultez rapidement un médecin.
Personne n'a encore répondu à ce quizz, soyez le premier !' :-)
Question 1/5